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Se libérer du Karma d'injustice

Héritières du Feu : Pourquoi l’injustice des chasses aux “sorcières” résonne encore dans nos corps

Pendant des siècles, des millions de femmes (et d’hommes) ont été accusés de pactiser avec le diable,simplement parce qu’ils étaient connectés au sacré, à la Nature, à la guérison, aux cycles, aux étoiles.

Cette réalité n’est pas qu’un chapitre pas si lointain des livres d’histoire.Son empreinte est inscrite dans notre mémoire cellulaire, dans nos lignées, dans notre psyché collective.


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Au nord du Pays Basque, il existe un lieu où les pierres se souviennent. Zugarramurdi.

Des grottes ancestrales où résonnent encore les battements de celles

et ceux qui ont osé rester libres.

On les appelait sorginak.

Elles se réunissaient dans ce que l’on nommait Akelarre  la lande du bouc non pas pour adorer le mal comme l’a prétendu l’ignorance…mais pour honorer Akerbeltz, le protecteur, le gardien du passage entre les mondes.



Le fil invisible qui unit
  • L’Aker basque, allié des guérisseuses, des “sorginak”, des grottes, des sabbats (« akelarre » signifiant « lande du bouc ») ; un espace hors contrôle des autorités, dédié au lien à la Terre, à l’ombre, à la célébration.

  • L’Aker égyptien, gardien du tunnel nocturne du soleil, des frontières entre hier et demain, protecteur des âmes qui s’aventurent dans l’invisible.

Ils partagent un archétype : celui de l’interface entre ce qui n’est plus et ce qui naît, entre l’ombre et la lumière.Ils sont symboles de passage, de mue, de révélation.




Sous la terre, à l’abri des yeux qui jugent, elles chantaient, soignaient, dansaient.Elles parlaient avec la Lune.Elles connaissaient les plantes, les cycles, les signes.Elles célébraient la vie, simplement.Sacrément.

Car ces grottes étaient avant tout un sanctuaire.Un ventre de pierre où la spiritualité se vivait incarnée, où le sacré et la Terre ne faisaient qu’un.

Mais l’autorité, incapable de contrôler ce qui est sauvage et libre, a transformé ce lieu de guérison en théâtre d’horreur.

Les cris ont remplacé les chants.

Le feu a voulu éteindre la lumière.

On a tenté de faire taire la vérité.

Pourtant…rien n’a disparu.Tout s’est transmis.

Dans chaque cellule, dans chaque femme et chaque homme connectés aujourd’hui,

la mémoire brûle encore.


Zugarramurdi n’est pas un vestige du passé.C’est un rappel

.Une invitation.

Un souffle depuis la roche :

Souviens-toi de qui tu es.

Souviens-toi de ce que tu portes.

Souviens-toi de ce que personne ne pourra jamais te prendre.


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Cette injustice est devenue mémoire cellulaire :

  • Une peur d’être visible, d’être “trop” spirituelle.

  • Une tendance à cacher ses dons, à se taire quand l’âme veut chanter.

  • Une volonté de se conformer plutôt que d’incarner sa vérité.



Pourquoi cela freine encore aujourd’hui ton pouvoir divin?


Les empreintes de ces persécutions se manifestent dans des formes subtiles :

  • Le blocage à parler, à exprimer sa vérité.

  • La difficulté à recevoir des dons ou à les partager.

  • Le sentiment que “faire de la spiritualité” peut être risqué, marginalisant.

  • Et pourtant :

    Ces dons sont ton héritage.Tu te souviens d’un espace où l’intuition, l’incarnation et la guérison étaient à ta portée, librement.





Chemins de libération : trois rites pour aujourd’hui



Descendre dans la caverne intérieure

Non pour se perdre… mais pour se retrouver enfin.

Tu fermes les yeux.Tu sens la pierre humide, l’air plus dense, la nuit qui respire.

La caverne n’est pas un endroit effrayant :c’est le lieu où tu récupères ce qui t’est dû.Tes colères étouffées.Tes visions ridiculisées.Tes vérités réprimées.

Ici, tu n’es plus en faute.Tu n’es plus “trop”.Tu redeviens entièreté.

Ce qui remonte du noir… n’est pas du chaos.C’est ta mémoire sacrée qui réclame d’être honorée.


Renouer avec l’intelligence de ton corps

Ce n’est pas une intuition floue ou un concept de développement personnel.C’est un système de connaissance millénaire.

Ton corps sait.

Il sent le mensonge avant qu’il ne soit prononcé.Il reconnaît le sacré avant que la raison ne l’explique.

Il est ton premier oracle. Et ta dernière frontière de vérité.

Alors marche. Respire. Écris.Même quelques lignes.Même un mot : je suis là.

Chaque geste devient une prise de territoire dans ta propre vie.



Reprendre ta voix et ta voie

Se montrer : c’est un acte de réparation.

Tes dons ne sont pas une décoration spirituelle.Ce sont des héritages survivants.

Ta parole est une réponse aux siècles de silence.

Tu n’es pas l’arrière-petite-fille des condamnées.Tu es leur retour.

Quand tu te dresses, quand tu racontes, quand tu crées : tu rends justice à toutes celles qui n’ont pas pu.

Plus de permission. Plus d’excuses. Plus de réduction.

Tu es la voix rendue.Tu es la voie retrouvée.



Et maintenant…

Ressens-tu encore cette peur d’être trop spirituel·le, trop intuitif·ve, trop visible ?

Et si au lieu de te restreindre, tu revendiquais que ce don soit ton guide, ton outil, ta lumière ?

Pose-la dans un carnet.

Parle-en à voix haute.

Parce que le sacré n’est pas réservé à quelques élus.

Il est ton droit.Ton héritage.Ta délivrance.


J’ai conçu une immersion audio guidée,

pour t’accompagner dans ce passage :

▶ retrouver la mémoire des grottes,

▶ libérer l’injustice retenue,

▶ activer ta voix et ta voie.

Cette expérience te permet de découvrir l'espace ORÂ,

un cercle sacré où tu peux incarner ta spiritualité pleinement, dans la communauté, guidée et autonome.
































 
 
 

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